HÔTELS

DE SOUBISE

&  


HÔTELS

DE

SOUBISE

&

DE ROHAN

Balades des 26/11/2006, 21/08/ et 09/12/2007.



Les deux hôtels font actuellement partie du quadrilatère des Archives nationales. Le point de départ de l’ensemble architectural fut l’hôtel de Clisson (fin du XIVème s.) dont il ne reste que la porte d’entrée et les deux tourelles sur la rue des Archives.

















L’hôtel passa ensuite aux mains des Guise puis fut acheté en 1700 par François Rohan-Soubise. On dota l’hôtel d’une nouvelle entrée plus prestgieuse (donnant sur le sud), et d’une cour d’honneur avec une demi-colonnade ouvrant par une demi-lune sur la rue des Francs-Bourgeois.










Le même architecte (P-A Delamair) fut chargé, par le fils des propriétaires (Armand Gaston, le futur cardinal de Rohan), de construire sur un terrain adjacent l’hôtel de Rohan-Strasbourg.












Napoléon affecta l’hôtel de Soubise aux Archives impériales, et installa dans l’hôtel de Rohan l’Imprimerie nationale. En 1867, l’hôtel de Soubise fut transformé en musée des Archives nationales.


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HÔTEL DE SOUBISE




















La décoration intérieure, confiée à l’époque à Germain Boffrand, n’a pu être restaurée que dans une petite partie des salons.




















Ici, notamment, dans le salon ovale de la princesse (appartements de la princesse au premier étage).































La chambre d’apparat de la princesse.

















HÔTEL DE ROHAN

Il fut construit à partir de 1705 par Armand Gaston de Rohan, évêque de Strasbourg et futur cardinal de Rohan. Après lui, trois cardinaux et évêques de Strasbourg s’y succédèrent, dont le dernier, Louis-René-Edouard, qui fut la victime de l’escroquerie du «collier de la reine».



La visite de l’hôtel n’est possible que certains dimanches, lorsqu’est mise en scène «l’affaire du collier de la reine».



L’hôtel de Rohan, côté jardin.


















Côté cour.


































La cour.





























La grande cour des écuries.





























































La porte centrale des écuries. Haut-relief de Le Lorrain (serviteurs d’Apollon et chevaux du char du soleil).







































L’escalier d’honneur.




















































Tapisseries d’Aubusson à sujets chinois.








































































































Le célèbre cabinet des singes (Christophe Huet, 1749 - 1750).






































«L’affaire du collier de la reine» (1784-1785).



























































































































































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