La Flandre française

(aperçu)



Bailleul, Boeschepe, Godewaersvelde, Mont des Cats, Eecke, Cassel, St-Omer et Renescure















Boeschepe et son moulin de l’Ingratitude


































Godewaersvelde et ses estaminets














L’abbaye du Mont des Cats se trouvait au centre du secteur canadien.





















La campagne flamande et les Monts de Flandre (vus de l’entrée de l’abbaye).





















Eecke, son église et son clocher...






















Le Mont Cassel.


















La grand’Place.

























Le musée de flandre




























































Le mont Cassel, enjeu stratégique tout au long de l’histoire ancienne et récente (musée et jardin public).































































































































Cassel, QG du général Foch d’octobre 1914 à avril 1915.








Vue vers le sud.
































Saint-Omer












































La cathédrale Notre-Dame






























Sa tour (50m) et le bas-côté sud.




























Le cénotaphe de saint Omer (XIIIème s.).























Le mausolée d’Eustache de Croÿ (XVIème s.).


















































La Descente de croix (Rubens).





























Le tombeau (VIIIème s.) de saint Erkembode. les chaussures sont déposées par les mamans des bambins qui ont des difficultés à marcher.










Direction l’abbaye St-Bertin, à l’est de la ville.

























































L’abbaye avant la Révolution.















































L’abbaye aujourd’hui (statue de l’abbé Suger).























Vue de l’«intérieur».




C’est à son propos que Victor Hugo a écrit: «N’y a-t-il pas eu, à St-Omer, un préfet qui a détruit aux trois quarts les magnifiques ruines de Saint-Bertin, sous prétexte de donner du travail aux ouvriers?».



En effet, après l’expulsion des religieux en 1790, le dénommé Pierre Charles vend le site en lots, puis en 1811 la ville achète l’abbatiale et la démolit à partir de 1830 sous prétexte de donner du travail aux indigents.










Renescure


Le château de Philippe de Commynes, chroniqueur français d’origine flamande (XVème s.).















































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