TEHERAN

 

Téhéran a succédé en 1789 à Shiraz comme capitale de la Perse. Ce qui n’était alors qu’une modeste bourgade est devenu en un peu plus de deux cents ans une agglomération trépidante et tentaculaire d’une quinzaine de millions d’habitants. Adossée aux contreforts des monts Alborz (qui culminent à plus de 5 000 m et séparent la ville de la mer Caspienne distante d’une centaine de km à vol d’oiseau), Téhéran descend en pente douce du nord au sud avec, tout en haut, les palais des Pahlavi puis les quartiers résidentiels (très opulents pour certains) qui deviennent de moins en moins résidentiels et de plus en plus populaires au fur et à mesure que l’on descend vers l’avenue Enqelab, puis la place de l’Imam Khomeini et enfin le Bazar central.

Pas de sites exceptionnels à Téhéran (ni de cohérence architecturale), mais sont dignes d’intérêt, et parfois plus, le Bazar central et sa mosquée de l’Imam Khomeini, le palais Golestan, les palais des Pahlavi, le Musée national et le Musée des Joyaux de la Couronne (Banque centrale), la Tour Azadi… Balades intéressantes du côté des places Baharestan (mosquée shahid Motahari) et Tajrish (mosquée Emamzadeh Zaleh) tout au nord. Les distances sont très grandes, elles nous ont donné l’occasion de pratiquer le métro, moderne et fonctionnel.

Nous sommes arrivés à Téhéran le 23 au soir et l’avons quittée le 26 vers 13 heures.






















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